Grandir [texte imprimé] / Sophie Fontanel (1962-....), Auteur . - Paris : R. Laffont, impr. 2010 . - 1 vol. (144 p.) ; 22 cm. ISBN : 978-2-221-11716-3 : 17 EUR Langues : Français ( fre) Index. décimale : | 803 | Résumé : | ULa longue histoire d'amour d'une fille pour sa mère.
A 8 heures du matin, ça y est, j'avais accepté. Je me levai, je filai chez ma mère. je m'assis sur une chaise près du lit: Maman, je lui disais pour la première fois depuis l'enfance: je t'aime. Tu es ma vie. Et comment, si je t'aime. toi qui es ma vie. je pourrais te laisser là dans ce lit, à l'abandon? Je ne le pourrais pas. Ecoute, je veux que tu me donnes l'autorisation d'appeler le docteur. qui appellera l'ambulance, et tu seras dans un hôpital mais tu seras soignée, et je t'aime.
Et je te donnerai du courage, je le pourrai. Tu veux bien ? La seconde inoubliable où je fus suspendue à sa réponse. Oui à tout , elle avait annoncé. Et plus tard, dans l'ambulance, le sublime sourire retrouvé malgré les souffrances qu'elle endurait: Sophie. tu me surprends. Grandir, c'est bien après la croissance, on dirait. |
Titre : | Grandir | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Sophie Fontanel (1962-....), Auteur | Editeur : | Paris : R. Laffont | Année de publication : | impr. 2010 | Importance : | 1 vol. (144 p.) | Format : | 22 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-221-11716-3 | Prix : | 17 EUR | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | 803 | Résumé : | ULa longue histoire d'amour d'une fille pour sa mère.
A 8 heures du matin, ça y est, j'avais accepté. Je me levai, je filai chez ma mère. je m'assis sur une chaise près du lit: Maman, je lui disais pour la première fois depuis l'enfance: je t'aime. Tu es ma vie. Et comment, si je t'aime. toi qui es ma vie. je pourrais te laisser là dans ce lit, à l'abandon? Je ne le pourrais pas. Ecoute, je veux que tu me donnes l'autorisation d'appeler le docteur. qui appellera l'ambulance, et tu seras dans un hôpital mais tu seras soignée, et je t'aime.
Et je te donnerai du courage, je le pourrai. Tu veux bien ? La seconde inoubliable où je fus suspendue à sa réponse. Oui à tout , elle avait annoncé. Et plus tard, dans l'ambulance, le sublime sourire retrouvé malgré les souffrances qu'elle endurait: Sophie. tu me surprends. Grandir, c'est bien après la croissance, on dirait. |
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